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samedi 27 avril 2019

Échinococcose alvéolaire : de nombreux renards contaminés


Source : reminremontinfo.fr

Échinococcose alvéolaire : de nombreux renards contaminés Attention brimbelles et autres produits du jardin

 

Des agents responsables de maladies graves sont présents dans nos milieux et sont transmis, véhiculés par des animaux de la faune sauvage. Echinococcose alvéolaire, la leptospirose, la maladie de Lyme ou le moustique tigre… Le Comité syndical de l’ELIZ a eu lieu ce jeudi au Conseil départemental des Vosges.

A ce jour, 26 départements sont partenaires de l’ELIZ. Sa compétence principale est la lutte contre les maladies transmises à l’Homme par la faune sauvage (l’échinococcose alvéolaire, la leptospirose, la maladie de Lyme ou le moustique tigre) . Acteur historique principal de l’éradication de la rage, l’ELIZ anime et coordonne des acteurs locaux (Fédération de Chasse, Laboratoire départemental..) pour des programmes d’actions et d’investigations sur le terrain.

Un renard sur deux est contaminé

L’échinococcose alvéolaire, maladie parasitaire sournoise et gravissime, voit s’accentuer au fil du temps le nombre de cas humains en France. Un renard sur deux est contaminé. Cette maladie est provoquée par l’ingestion accidentelle des oeufs microscopiques, seule forme libre dans la nature, d’un taenia parasitaire du renard et des campagnols. cette maladie chez l’homme est apparentée à un cancer à évolution lente dont les premiers symptômes n’apparaissent que 10 à 15 ans après la contamination.

maladie de Lyme : de nombreux cas dans les Vosges

Qui n’a pas entendu parler de la maladie de Lyme? cette maladie bactérienne transmise par des tiques, ces détestables petits arthropodes acariens qui viennent planter leur rostre dans la peau du promeneur dans nos campagnes ou nos parcs urbains.
Actuellement la maladie de Lyme fait beaucoup parler d’elle dans l’hexagone avec des controverses quant aux capacités de diagnostiquer avec précision. l’ELIZ ne s’intéresse qu’aux aspects connaissances sur le terrain, aux mortalités de l’acquisition de ces connaissances ainsi qu’aux stratégies à découvrir pour mettre fin ou juguler ce problème majeur de nos campagnes.
En 44 ans d’existence, les départements de l’ELIZ ont permis de répondre à un certaion nombre de questions sur certaines maladies patrimoniales en pleine expansion.
C.K.N.

 

vendredi 26 avril 2019

WE du 27 et 28 avril 2019 : entraînements ACAFC

 A l'attention de tous ceux qui veulent venir s'entraîner, quelque soit le pôle d'entraînement :  pour des questions d'assurance et de responsabilités, pensez à vous acquitter de votre cotisation 2019 si ce n'est pas encore fait.



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POLE MANDEURE

Samedi 27 avril


En raison de la JFO le samedi et la JFC (Journée théorie) le dimanche, le staff est monopolisé à Gonsans tout le WE. Il n'y aura donc pas d'entraînement ce WE à Mandeure.

Par contre, même si cela s'adresse en priorité à nos stagiaires 2019, j'invite les adhérents (à jour de cotisation) qui l'ont passée il y a plus ou moins longtemps et qui voudraient prendre une piqure de rappel à venir à cette journée de formation théorique car celle-ci se bonifie d'année en année (comme ceux qui l'animent 😀), rdv dimanche à 8h20 à Gonsans.



Pour appeler Pat.
Port : 06 71 79 61 02

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POLE JURA (Dôle)


Samedi 27 avril

Un entraînement est prévu ce WE à Dôle ce samedi 27 avril.
A cette occasion, Cyril distribuera les cartes aux adhérents Jurassiens à jour de cotisation. 
Pensez à appeler Cyril pour le prévenir de votre participation.


Pour appeler Cyril.
Port : 06 38 20 65 85
 
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A l'attention de tous ceux qui veulent venir s'entraîner, quelque soit le pôle d'entraînement :  pour des questions d'assurance et de responsabilités, pensez à vous acquitter de votre cotisation 2018 si ce n'est pas encore fait.

jeudi 25 avril 2019

Vidéo : La Belle Chasse - Les chasseurs du Doubs


LaBelleChasse, label de la Fédération des Chasseurs du Doubs, prône les valeurs essentielles de la chasse :
- la Sécurité,
- le Respect
- l'Engagement
- l'Authenticité

Avec une surprise à 1mn15 …  😋

mardi 23 avril 2019

Belfort : Les sangliers mettent à mal les finances des chasseurs


Source : EstRepublicain.fr

L’assemblée générale de la fédération départementale de chasse du Territoire de Belfort a pointé les dégâts faits par les sangliers et surtout les conséquences financières pour les associations et la fédération. « Nous sommes à la cote d’alerte », résume le président.

 
Pour éviter la recrudescence des dégâts de sangliers, la fédération départementale met à disposition des associations locales de chasse, le matériel pour installer des clôtures électriques autour des parcelles. Archives ER /Laurent ARNOLD

 Le sanglier a été le personnage principal de la 91e assemblée générale de la fédération départementale de chasse du Territoire de Belfort (FDC 90). Il n’a été (presque) que question de lui et surtout des dégâts qu’il fait et qu’il va faire.

Les chasseurs avaient tiré la sonnette d’alarme dès 2017 en voyant la facture gonfler de manière exponentielle. « Nous sommes aujourd’hui à la cote d’alerte. Si nous ne réagissons pas, nous allons droit dans le mur. Cette année c’est déjà la murette », s’est exclamé dans son discours le président de la FDC  90 Daniel Kittler.

Explosion du nombre de dégâts

L’an dernier, les chasseurs ont déboursé 94 000 euros pour les indemnisations de dégâts : 74 000 euros ont été versés aux agriculteurs qui avaient déclaré les dégâts, les 20 000 euros restant couvrant les frais annexes. Cette année, on avance le chiffre de 150 000 euros. Sauf que depuis le début d’année, les chasseurs font face à une explosion du nombre de dégâts.

« L’an dernier, nous avions enregistré 32 dossiers de dégâts en prairie. Cette année, à la date du 8 avril, nous avons déjà enregistré 152 dossiers pour 125 hectares à indemniser. Et les parcelles n’ont pas encore été semées », résume Daniel Kittler. « Jamais nous n’avons été autant sollicités par le monde agricole, les maires et les habitants. »

Record de prélèvements

Pourtant, le nombre de prélèvements ne fait qu’augmenter. En 2014, on avait relevé 530 prélèvements de sangliers. En 2017, on en était à 837 et l’an dernier, 913 prélèvements ont été comptabilisés. Des chiffres « historiques ». Mais rien n’y fait. Alors même qu’il n’y a plus de restriction de prélèvements, ni de limitation du tir des laies.
« Il nous faut tout mettre en œuvre pour faire baisser les populations de sangliers de manière drastique sous peine de devoir mettre la clé sous la porte faute de moyens financiers », déclare Daniel Kittler.
La fédération demande l’ouverture anticipée de la chasse à l’affût au 1er  mai au lieu du 1er  juin, mais aussi une prolongation de la période de chasse. Elle a aussi demandé un allégement des contraintes de tir avec la suppression des notions de poids lors du tir à l’affût. « Nous avons également sollicité la possibilité de tirer sur les places d’agrainage, si la légalité de cette mesure est confirmée », complète le président.
Mais les chasseurs en appellent aussi à l’administration, notamment en ce qui concerne les réserves naturelles et autres périmètres protégés. « Nous savons que la zone de captage à Sermamagny est un sanctuaire à sangliers », pointait le député Michel Zumkeller, alors qu’un responsable d’une association constatait que « le pays sous-vosgien avec ses zones non chassables est devenu un nid à sangliers ». « Il faut un amendement pour nous permettre d’intervenir dans les réserves naturelles », appelait encore le président de la FDC.
913 prélèvements de sangliers ont été enregistrés dans le Territoire de Belfort en 2018.

« Le porte-monnaie des chasseurs en a marre »

Chez les chasseurs, on oscille entre résignation, colère et incompréhension. « Pourquoi on se retrouve être les seuls à payer ? » glissait un chasseur à son voisin lors de l’assemblée générale de la fédération. Une question qu’attendait le président Daniel Kittler : « J’entends déjà les remarques de certains sur le fait que nous sommes les seuls à payer. Mais actuellement, c’est la loi et la loi est dure. Et dans l’attente de la réforme, nous n’avons pas d’autre choix que de l’appliquer », répondait-il en substance, insistant sur le fait que « les chasseurs ne sont pas seuls responsables de cette situation ».

« Bureau des pleurs »

Avouons que le premier réflexe est de se tourner vers les chasseurs au premier dégât : « Le siège fédéral a été, ni plus ni moins, le bureau des pleurs. Doit-on continuer comme cela ? Certainement pas », insiste le président.
« Qu’est-ce qu’on répond à un jeune agriculteur qui chaque semaine rebouche des trous dans ses parcelles ? » interrogeait le trésorier de l’association de Chèvremont qui notait par ailleurs : « Le porte-monnaie des chasseurs à ses limites. Il en a marre. »
Appelés à voter sur le montant des contributions, les chasseurs ont voté à 356 voix pour et 346 contre à une solution qui verra la fédération ponctionner une somme de 10 000 euros dans sa « réserve pour les dégâts ». À ce rythme, dans quatre ans, il n’y aura plus de réserve.

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En 2018, « jamais autant de chamois, cerfs, chevreuils et sangliers n’ont été prélevés ».  Archives ER /Bruno GRANDJEAN
En 2018, « jamais autant de chamois, cerfs, chevreuils et sangliers n’ont été prélevés ».  Archives ER /Bruno GRANDJEAN
En 2018, des prélèvements « remarquables et historiques »
L’année 2018 restera une belle année en termes de prélèvements du grand gibier dans le Territoire de Belfort. « Les prélèvements ont été remarquables et historiques. Jamais autant de chamois, cerfs, chevreuils et sangliers n’ont été prélevés », a fait remarquer le président Daniel Kittler. Outre le nombre record de sangliers abattus (913), 1 048 chevreuils ont été prélevés. Pour les cerfs, sept des onze bracelets attribués dans le département ont été utilisés pour trois mâles, trois jeunes et une biche. Enfin, vingt bracelets avaient été attribués pour le chamois et vingt prélèvements ont été effectués (seize adultes et quatre jeunes).




lundi 22 avril 2019

Un loup aperçu dans le Doubs à côté de Bians-les-Usiers


Source : ma commune.info 

Des images d’un canidé (vidéos et photographies) ont été recueillies par un correspondant du réseau loup-lynx du département du Doubs en mars 2019 sur la commune de Bians-les-Usiers. A l’issue d’une expertise menée par l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS), il apparaît que tous les critères d’analyse relevés sur ces images, sont compatibles avec l’identification d’un loup Canis lupus.  

Loup : image d'archive du 14 octobre 2018 © loup jura fédération des chasseurs du jura

Le réseau constitué de correspondants formés à cet effet a pour mission de collecter des indices de présence de grands prédateurs, il est animé par l’ONCFS et piloté au plan départemental par la Direction Départementale des Territoires. Il s’agit de contribuer à la caractérisation de la progression de la population de loups d’un point de vue géographique et démographique conformément aux objectifs fixés par le plan national d’action 2018-2023 sur le loup et les activités d’élevage. 

Une zone de présence permanente de l’espèce (ZPP) dénommée zone du Marchairuz, a été identifiée au sud-ouest du département, secteur de Mouthe à Chapelle des Bois – zone partagée avec le département du Jura et le canton de Vaud en Suisse. Ainsi, un dispositif spécifique de suivi intensif de l’espèce en été et en hiver est également mis en place, ces suivis sont réalisés par les correspondants du réseau. 

Il s’agit donc d’un nouvel élément attestant a minima du passage de l’espèce dans le département du Doubs, après la découverte d’un cadavre de loup mâle adulte ou subadulte suite à une collision avec un véhicule à Chaffois en mars 2018 et l’identification la même année de la zone de présence permanente du Marchairuz dont on sait aujourd’hui qu’elle héberge un loup mâle et un loup femelle principalement localisés en Suisse.

samedi 20 avril 2019

Le rallye Loue-Lison fête ses 20 ans




vendredi 19 avril 2019

WE du 20 et 21 avril 2019 : entraînement ACAFC

 A l'attention de tous ceux qui veulent venir s'entraîner, quelque soit le pôle d'entraînement :  pour des questions d'assurance et de responsabilités, pensez à vous acquitter de votre cotisation 2019 si ce n'est pas encore fait.



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POLE MANDEURE

Samedi 20 avril


Pour ce WE Pascal, nous vous accordons un peu de répit.
Il n'y aura donc pas d'entraînement à Mandeure.

Joyeuses Pâques à toutes et à tous !!! (et n'abusez pas du chocolat)



Pour appeler Pat.
Port : 06 71 79 61 02

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POLE JURA (Dôle)


Pas d'entraînement prévu ce WE à Dôle mais vous pouvez déjà noter la date du samedi 27 avril pour le prochain entraînement.
A cette occasion, Cyril distribuera les cartes aux adhérents Jurassiens à jour de cotisation. 


Pour appeler Cyril.
Port : 06 38 20 65 85
 
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A l'attention de tous ceux qui veulent venir s'entraîner, quelque soit le pôle d'entraînement :  pour des questions d'assurance et de responsabilités, pensez à vous acquitter de votre cotisation 2018 si ce n'est pas encore fait.

mardi 16 avril 2019

Les chasseurs pourront tirer plus facilement le loup

 Source : lematin.ch


Loi sur la chasseUne commission du National a encore assoupli les dispositions permettant d'abattre des animaux en Suisse, en particulier les loups. Un référendum est dans l'air.
 



La commission de l'environnement du Conseil national a désormais terminé l'examen de la révision de loi sur la chasse et la protection des mammifères et oiseaux sauvages, qu'elle a adoptée par 14 voix contre 8. Elle va plus loin que le Conseil des Etats dans les assouplissements prévus.


Le WWF, Birdlife et Pro Natura menacent de lancer un référendum. Les associations environnementales refusent «catégoriquement cette révision extrême et complètement déséquilibrée» de la loi et attendent du Conseil national qu’il la corrige, ont-elles fait savoir par communiqué.
De nombreuses propositions de minorité ont été déposées. Les unes demandent de renforcer la protection de la faune sauvage, les autres d’accroître la marge de manœuvre permettant de prendre des mesures contre les animaux causant des dommages, ont indiqué les services du Parlement. Pour les ONG, la commission a finalement adopté «sans vergogne une «loi d’abattage» inacceptable».

Régulations
La révision de loi fera désormais explicitement état de régulation des effectifs et non plus seulement de tir d'animaux isolés. Moyennant une consultation de l'Office fédéral de l'environnement (OFEV), les cantons pourront prendre les devants.
Pour Sara Wehrli de Pro Natura, «cela provoquerait d’immenses différences de traitement entre les cantons en ce qui concerne les espèces protégées au niveau national. La Confédération ne pourra ainsi plus garantir son mandat constitutionnel et international de protection.»
Des conditions sont toutefois posées. Les régulations ne devront pas mettre en danger les effectifs de l'espèce concernée. Elles devront être nécessaires pour protéger des biotopes ou conserver la diversité des espèces, ou encore prévenir un danger concret pour l’être humain.

Liste élargie
Par ailleurs, il est prévu que le Conseil fédéral puisse élargir à tout moment et sans consulter le Parlement la liste des espèces régulables. «Cela soumettrait la gestion des espèces protégées aux intérêts particuliers de certains. De nombreuses espèces protégées courent par conséquent le risque de devenir régulables, et donc «quasi chassables», selon Werner de BirdLife Suisse.
La majorité de la commission avait déjà assoupli les autres conditions. Les dégâts qu'il faudrait prévenir ne devront pas être 'considérables'. La commission a en outre décidé que des mesures de protection ne devaient pas nécessairement avoir été prises au préalable contre le loup.

Danger et dommage
Elle a enfoncé le clou concernant les mesures qui peuvent être prises lorsqu'un animal cause des dégâts ou présente un danger pour l'homme. Il s'agit par exemple de pouvoir abattre un ours solitaire qui a perdu sa crainte naturelle et pénètre de manière répétée dans les villages à la recherche de nourriture, malgré des mesures de dissuasion.
Pour la majorité de la commission (14 voix contre 10), les dégâts n'auront pas besoin d'être «importants» et le danger «concret». Par 12 voix contre 11 et une abstention, la commission a par ailleurs ajouté que les animaux qui présentent un comportement attirant l’attention pourront dorénavant être tirés.
Pour Océane Dayer, responsable politique au WWF Suisse, «ces abattages injustifiés mettent en danger la survie des espèces menacées!»

Aides financières
La commission avait déjà souhaité que la Confédération puisse allouer des aides financières aux cantons pour la surveillance et la mise en œuvre des mesures concernant la gestion des populations de loups. Elle a désormais légèrement étendu les subventions versées par la Confédération pour la prévention et l’indemnisation en cas de dommages.
Les interventions régulatrices seront permises non seulement pour les loups mais également pour certaines espèces protégées qui sont source de conflits. Le bouquetin est explicitement mentionné. La commission a refusé de suivre la Chambre des cantons et d'inscrire le lynx et le castor.
La disposition visant à ce que les chasseurs recherchent les animaux qu’ils ont blessés a été revue. Le terme 'districts francs' devrait être remplacé par celui de «sites de protection de la faune sauvage». La possibilité d'y tirer des espèces protégées a été limitée par la commission aux bouquetins, ce qui correspond au droit en vigueur.

Recours et examens
Par ailleurs, la commission a décidé, par 12 voix contre 11 et 1 abstention, que le droit de recours inscrit dans la loi sur la protection de la nature ne devait pas s’appliquer aux décisions des autorités d’exécution cantonales chargées de la chasse.
Contrairement au Conseil des Etats, une courte majorité s'est en outre prononcée pour une clarification du lien entre l’autorisation de chasser et l’examen de chasse. L’autorisation permet de pratiquer la chasse dans un canton donné et son octroi relève de la compétence des cantons. La réussite de l’examen de chasse constitue toujours une condition essentielle pour obtenir l’autorisation de chasser.
Mais la Confédération prescrira désormais aux cantons les matières d’examen, à savoir la biologie de la faune sauvage, la protection des espèces et des biotopes, la protection des animaux et le maniement d’armes. De plus, les examens cantonaux de chasse, dont le contenu est ainsi harmonisé, feront l’objet d’une reconnaissance réciproque.
source: Le Matin







dimanche 14 avril 2019

15 avril au 30 juin : Gardez vos chiens sous contrôle



samedi 13 avril 2019

Trafic d’oiseaux : Une centaine de passereaux protégés libérée après des perquisitions


Source : La voix du Nord.fr 



 L’ONCFS a réalisé trois perquisitions chez des particuliers début avril. Ils se livraient au trafic d’oiseaux protégés, pratique qui provoque l’effondrement des populations.
Des verdiers d’Europe, des chardonnerets élégants, des linottes mélodieuses... Au total, 112 passereaux protégés détenus illégalement par des particuliers ont été remis en liberté dans la métropole lilloise par les agents de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). Après plusieurs semaines d’enquêtes, ils ont opéré trois perquisitions lors desquelles ils ont également découvert des pièges pour capturer les animaux.




Au total, 370 passereaux protégés ont été saisis dans le Nord et 72 dans le Pas-de-Calais. «  Pour les trois premiers mois de 2019, ce sont déjà 186 oiseaux saisis sur ces deux départements  », remarque l’ONCFS, qui indique que «  les contrevenants encourent des peines de 150 000 euros d’amende et deux ans de prison  ». Cependant, «  l’ampleur de ce trafic est probablement sous-estimée  ».

Jusqu’à 1000 euros pour certains oiseaux « mutés »


La région est d’ailleurs particulièrement touchée. «  But de ce trafic: alimenter en oiseaux les personnes qui détiennent ces spécimens pour leur agrément personnel, les collectionneurs ou les éleveurs pour des concours de chant et de beauté qui se déroulent principalement en Belgique  », poursuit l’ONCFS. Un chardonneret peut se vendre entre 50 et 70 euros. «  Une fois l’oiseau blanchit avec une fausse bague homologuée, ce prix est multiplié par 2 ou 3  », assure l’ONCFS. Enfin, après des croisements, certains spécimens atteignent les 1000 euros.
Le trafic encouragé par ces sommes est dévastateur pour la biodiversité. «  Une baisse de l’ordre de 40 % est enregistrée au plan national pour le chardonneret et de près de 80 % pour les effectifs nicheurs de la linotte mélodieuse en Nord Pas-de-Calais sur la période 1995 à 2014  », alarme l’ONCFS.

vendredi 12 avril 2019

WE du 13 et 14 avril 2019 : entraînements ACAFC

 A l'attention de tous ceux qui veulent venir s'entraîner, quelque soit le pôle d'entraînement :  pour des questions d'assurance et de responsabilités, pensez à vous acquitter de votre cotisation 2019 si ce n'est pas encore fait.



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POLE MANDEURE

Samedi 13 avril


Belle Météo (à peine fraîche) à Mandeure pour l'entraînement de ce samedi.

Après Sam, Éric, Xavier et Olivier, c'est Guy qui nous offrira le "Brut" de fin de cette 5ème séance ...


Merci de dire qui sera présent (en commentant cet article). 
A Samedi, 14h30 à la combe à Momo

Si des stagiaires 2019 sont présents (qui ne connaissent pas le site d'entraînement), merci de me prévenir par téléphone afin que l'on se donne rdv sur le parking du Super U à Mandeure.



Pour appeler Pat.
Port : 06 71 79 61 02

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POLE JURA (Dôle)




Pour appeler Cyril.
Port : 06 38 20 65 85
 
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A l'attention de tous ceux qui veulent venir s'entraîner, quelque soit le pôle d'entraînement :  pour des questions d'assurance et de responsabilités, pensez à vous acquitter de votre cotisation 2018 si ce n'est pas encore fait.

jeudi 11 avril 2019

Les photos de l'entraînement du 6 avril à Mandeure





















mercredi 10 avril 2019

Policiers de l’environnement : ils traquent les crimes contre la nature


Source : le parisien.fr

Planques, démantèlement de trafics, arrestations… les missions des policiers de l’environnement sont les mêmes que celles leurs confrères, excepté qu’elles concernent… la nature. AFB/Direction de la police

Fini le garde champêtre à l’ancienne. Les nouveaux policiers de l’environnement traquent la contrebande d’espèces sauvages, de pesticides ou de déchets, avec les mêmes moyens que pour les trafics de drogue.

« Vos papiers et votre carte de pêche s’il vous plaît. » Pour le directeur de la police de l’Agence française pour la biodiversité (AFB), Jean-Michel Zammite, cette phrase est l’héritage d’une époque révolue. Celle où les gardes champêtres se contentaient de vérifier la taille des poissons capturés ou les permis de chasse des traqueurs de gibier d’eau.
Opérations de filature, écoutes téléphoniques, surveillance des trafics sur Internet… les « policiers de l’environnement » ont dû adapter leurs moyens et leurs méthodes pour contrer les nouveaux trafics en vogue : espèces sauvages, déchets, pesticides interdits.

Ce mercredi, le Sénat devrait adopter un projet de loi créant l’Office français de la biodiversité : une fusion de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), spécialiste de la contrebande d’animaux, et de l’AFB. Mais cette dernière signera surtout lundi une convention avec l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (Oclaesp), qui dispose de pouvoirs de police plus grands. Leur mission commune : traquer les crimes contre la nature.

Arme de poing et gilet pare-balles

Ils planquent de longues heures de nuit pour surprendre les pêcheurs de lamproie, une espèce protégée. Ils arpentent les cours d’eau à pied ou en bateau pour surveiller les filets des pêcheurs. Ils peuvent déclencher des écoutes téléphoniques ou acheter des tonnes d’animaux en voie d’extinction sur le « darknet » pour faire tomber des filières. Sur le terrain, ils sont équipés de jumelles à vision nocturne, de gilets pare-balles, de bâtons de défense et même, pour les missions les plus périlleuses, de Glock, un pistolet semi-automatique.
« Je me suis fait tirer dessus une fois pendant un flagrant délit », témoigne Michel Vignaud, inspecteur de l’environnement en Nouvelle-Aquitaine, qui espère qu’il « n’ouvrira jamais le feu ». Les nouveaux policiers de l’environnement peuvent aussi répondre aux appels au milieu de la nuit. Des urgences, quand les agents des douanes, croyant trouver de la cocaïne, tombent sur une cargaison de jeunes anguilles, une espèce en voie de disparition. « Nous seuls avons les compétences pour les remettre à l’eau au plus vite et dans de bonnes conditions », signale l’inspecteur.

Gravats, pesticides… et lionceaux

Les 2 et 4 avril, dans le secteur de Lille (Nord), les agents de l’ONCFS ont saisi 112 passereaux protégés, détenus illégalement par des particuliers qui en faisaient commerce. « Ce trafic est en recrudescence et son but est d’alimenter en oiseaux les collectionneurs ou les éleveurs à des fins de concours de chant et de beauté, qui se déroulent principalement en Belgique », souligne l’Office.
Mais les animaux ne sont pas la seule source de trafic. « En 2005, l’Oclaesp avait saisi plusieurs dizaines de conteneurs remplis de réfrigérateurs périmés avec des gaz nocifs, des déchets électroniques et électriques, des filtres à huile et autres déchets de garage, comme des vieux pneus, à destination de l’Afrique », détaille Charlotte Nithart, de l’association écologiste Robin des Bois.
Avare de détails sur les opérations en cours, le lieutenant-colonel Christophe Le Gallo, adjoint au chef d’office au sein de l’Oclaesp, confirme néanmoins que ses services travaillent sur l’affaire du rhinocéros du zoo de Thoiry, tué en pleine nuit par des trafiquants qui ont sectionné sa corne. Les policiers de l’environnement s’intéressent aussi à de nouveaux trafics, comme celui des déchets.
Notamment les remblais de chantier. Des sociétés censées les recycler les récupèrent puis les enfouissent dans des zones humides. Les investigations concernent aussi le trafic de pesticides interdits en France, que certains agriculteurs persistent à utiliser. L’Oclaesp et l’AFB s’inquiètent aussi une nouvelle mode : celle des lionceaux, que certains écervelés adorent récupérer chez eux pour se faire photographier avec.

La justice de plus en plus sévère

En février, suite à une enquête associant notamment la brigade de recherches de Nantes et l’Oclaesp, un gang de trafiquants présumés de civelles (NDLR : des bébés anguilles) a été démantelé. « Le procès des neuf inculpés pour trafic d’espèces protégées en bande organisée, travail dissimulé, blanchiment, recel, abus de confiance et abus de biens sociaux, a abouti à leur condamnation à des peines de prison et à des amendes, relate l’association Robin des bois. Près de 700 000 € d’avoirs criminels - argent liquide, comptes bancaires, biens immobiliers, voitures de luxe, bijoux… - ont été confisqués. »
S’ils ont tous fait appel, cette affaire montre à quel point la justice ne plaisante plus dans ce type de dossiers. « L’avantage de la synergie entre l’Oclaesp et l’AFB sera de consolider les dossiers d’instruction (écoutes téléphoniques, filatures…) et de leur donner du poids auprès des magistrats, estime Charlotte Nithart. Cette coopération devrait aboutir à un renforcement concret des sanctions. »
Le sénateur socialiste de Saône-et-Loire Jérôme Durain veut aller encore plus loin. Il vient de déposer une proposition de loi au Sénat créant un crime d’écocide, pour pillage de ressources ou pollution à grande échelle par exemple, qui serait inscrit dans le Code pénal et prévoirait une peine de réclusion criminelle de vingt ans et 7 500 000 € d’amende.



mardi 9 avril 2019

Un appel au recensement des hérissons !

 Source :  l'Est Républicain.fr

France nature environnement lance dans le Doubs et le Territoire de Belfort la première étude de recensement du hérisson d’Europe. Cet animal au fort capital sympathie est en effet très mal connu sur le plan scientifique. Un appel aux bénévoles est fait. Explications.

 
Certains scientifiques estiment que le hérisson aura disparu d’ici 2050, victime des activités humaines.  Photo ER /Claude NARDIN

 Le hérisson, c’est un peu comme le comté, tout le monde l’aime. Il est l’ami du jardinier, celui des enfants et même de votre pataud de chien qui viendra s’y piquer la gueule en voulant jouer avec.

« C’est tout le paradoxe », s’étonne Gilles Benest, vice-président de France nature environnement Doubs et Territoire de Belfort. « Comment un animal doté d’un tel capital de sympathie peut-il être celui le plus écrasé sur les routes ? »

Sympathique mais mal connu

Selon une étude Suisse, la route serait en effet la seconde cause de mortalité chez le hérisson d’Europe, l’une des 6 espèces recensées, juste après l’intoxication aux pesticides au passage. Les tissus adipeux qui lui permettent de passer l’hiver en hibernation stockent en effet ces substances néfastes à son métabolisme. Autre singularité frappant la bestiole, on ne dispose, en France du moins, de quasiment aucune recherche scientifique notable sur le hérisson. « Il est très mal connu », note Charlotte Robert, chargée de mission à FNE 25/90.

Tout au plus a-t-il été déniché dans la littérature une étude mythologique due à Jean Untermaïer, professeur de droit originaire de Saône-et-Loire et membre de la Société française du droit de l’environnement, ainsi qu’une étude scientifique réalisée en Champagne, concluant que l’animal serait désormais plus urbain que rural.
C’est pourquoi FNE souhaite lancer une véritable enquête de répartition sur le territoire sous la forme d’un recensement du hérisson dans le Doubs et le Territoire de Belfort. « C’est totalement inédit », souligne Gilles Benest. « Nous avons testé la méthode l’été dernier dans les agglomérations de Montbéliard et de Besançon. Avec un minimum de publicité nous avions eu 200 contributeurs en deux mois. Si l’opération s’avère un succès à plus grande échelle, nous partagerons le protocole avec d’autres départements, dans l’espoir de prolonger l’étude à tout le territoire national. »


 Recherché mort ou vif

Il sera en effet fait appel aux bénévoles, selon le principe de la science citoyenne. N’importe qui s’intéressant à la question et ayant vu un hérisson « vivant ou mort » sur son chemin ou près de chez lui, sera invité à remplir un questionnaire sur le site de FNE 25/90 et si possible d’en faire la photo.
L’enquête débute avec le printemps en ce mois d’avril pour s’achever en octobre et concerne aussi bien la ville que la campagne et malheureusement aussi les hérissons écrasés sur les routes. Il est recherché mort ou vif !
Fred JIMENEZ

 

 

 

 

dimanche 7 avril 2019

Les photos de l'entraînement du 30 mars à Mandeure














vendredi 5 avril 2019

WE du 6 et 7 avril 2019 : entraînement ACAFC

 A l'attention de tous ceux qui veulent venir s'entraîner, quelque soit le pôle d'entraînement :  pour des questions d'assurance et de responsabilités, pensez à vous acquitter de votre cotisation 2019 si ce n'est pas encore fait.



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POLE MANDEURE

Samedi 6 avril


Météo correcte à Mandeure pour l'entraînement de ce samedi.

Après Sam, Éric et Xavier, c'est Olivier qui nous offrira le "Brut" de fin de cette 4ème séance ...


Merci de dire qui sera présent (en commentant cet article). 
A Samedi, 14h30 à la combe à Momo

Si des stagiaires 2019 sont présents (qui ne connaissent pas le site d'entraînement), merci de me prévenir par téléphone afin que l'on se donne rdv sur le parking du Super U à Mandeure.



Pour appeler Pat.
Port : 06 71 79 61 02

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POLE JURA (Dôle)




Pour appeler Cyril.
Port : 06 38 20 65 85
 
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A l'attention de tous ceux qui veulent venir s'entraîner, quelque soit le pôle d'entraînement :  pour des questions d'assurance et de responsabilités, pensez à vous acquitter de votre cotisation 2018 si ce n'est pas encore fait.

mercredi 3 avril 2019

Jura : l’histoire de l’extraordinaire découverte de Gilles


Source : Page Facebook du Chasseur Français

Et non, certain ont pu le penser hier, mais ce n’était pas un poisson d’avril. Gilles Mégaradémy a bien trouvé la paire de bois de Vincent, cerf emblématique de la forêt de Chaux. Il avait gardé sa découverte secrète durant plusieurs semaines. Il nous explique comment ça s’est passé : « je suis un jeune chercheur de mue, puisque ça fait que 3 ans que je m’adonne à cette passion. 

Depuis début février, trottait dans la tête : découvrir les mues de Vincent. Le 10 février j’ai commencé à chercher les pistes et ce n’est que le 21 que j’ai découvert le 1er bois, le 11 pointes, j’étais content. Le lendemain je trouvais un « moignon » du vieux 12, certainement le plus vieux cerf de la forêt de Chaux, on pense qu’il a 18 ans. Mais c’est 48h plus tard que je trouvais le second, et là ce fut une bouffé d’émotions qui s’est emparé de moi, je suis restée là à le regarder de longues minutes avant d’oser le ramasser, comme un gosse qui découvre un trésor ». 

Durant ces 3 jours, gilles aura parcouru 30 kms, alors que les 2 bois se trouvaient à 400m l’un de l’autre. Le 11 pointes mesure 1,12 m et pèse 3,4 kg, le 7 points, 1,07m et 2,7 kg. Et le « moignon » du vieux douze affiche une circonférence de 31,2 cm. 

Une découverte et une passion familiale, puisque sa fille, Charlise, a elle aussi été atteinte du virus de la recherche des mues, elle aura découvert sa 1ere mue à 13 ans, et la seconde à 14 ans … quelques jours plus tard, et pour cause, elle est née le 27 février.
Nul doute que ce soir, après avoir gardé secret leur découverte, ils vont fêter ça entre amis.