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Formation ACAFC : Formation théorique à Gonsans le Dimanche 21 Avril 2024
Formation ACAFC : Formation Pratique à Mandeure le Dimanche 5 Mai 2024
Formation ACAFC : Epreuves de fin de formation + Assemblée Générale à Gonsans le Dimanche 2 Juin 2024
FDC25 : JFO le samedi 20 avril et samedi 24 août 2024 à Gonsans 

Photos des Trophées ACAFC depuis juin 2022 >

samedi 31 mai 2014

FDC39 : La fédération vous informe…





DERNIÈRES PLACES DANS LES FORMATIONS !!! 

 Il reste des places dans les formations suivantes. 

N’hésitez pas à nous contacter pour vous inscrire ! 

Vendredi 20 juin : formation « Contrôle de la venaison », le matin à la Maison de la nature et de la faune sauvage (Arlay) 

Vendredi 4 juillet : formation « Sécurité/ chef de battue » à Clairvaux-les-Lacs 

Samedi 5 juillet : formation « Petit gibier » 

Jeudi 24 juillet : formation « Fonctionnement d’une ACCA/ membres du bureau », en soirée 

Vendredi 22 août : formation « Sécurité/ chef de battue » à Longchaumois 

Jeudi 4 septembre : formation « Fonctionnement d’une ACCA/ membres du bureau », en soirée 

VIDÉOPROJECTION DE CLOVIS DURAFFOURG 
N’oubliez pas le diaporama de Clovis DURAFFOURG 
mardi 3 juin à la Maison de la Nature et de la Faune Sauvage ! 
Pour plus d’informations, et dans un souci d’organisation, nous vous remercions de vous inscrire au 03 84 85 19 17 ou via l’adresse mail : fdc39.msalomon@aricia.fr. 
Vous connaîtrez alors l’heure du rendez-vous ! 

 LES ÉTANGS VAILLANT, DU CRÊT ET DU FORT À LA TOMBÉE DE LA NUIT… 
Mardi 10 juin, réservez votre soirée aux chants de la faune des étangs de Chapelle-Voland. 
Un technicien de la fédération vous accompagnera sur le sentier des étangs Vaillant, du Crêt et du Fort au coucher du soleil afin que vous puissiez observer les espèces faunistiques… avec vos oreilles. Cette soirée, est ouverte à tous. 
Prévoyez des vêtements adaptés, des jumelles et une lampe de poche ! Rendez-vous à 20h30 sur le parking des étangs Vaillant : suivre la signalétique « Sentier des étangs Vaillant » à partir de la RD122 entre Bletterans et Bellevesvre. 
5€ par adulte, gratuit pour les enfants jusqu’à 12 ans. 
Inscriptions au 03 84 85 19 19 ou à l’adresse suivante : fdc39@aricia.fr. 

UN DIMANCHE À LA CHASSE 
Les invitations sont lancées : les Présidents des ACCA jurassiennes ne tarderont pas à recevoir un courrier de la FDCJ les invitant à participer à l’opération automnale « Un Dimanche à la Chasse » ! 
Vous pouvez d’ores et déjà vous inscrire à la FDCJ au 03 84 85 19 19 ou à l’adresse suivante : fdc39.msalomon@aricia.fr, et ce, jusqu’au 20 juin. 

Votre fédération Ouverte du lundi au jeudi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h30, et le vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h.

vendredi 30 mai 2014

Samedi 30 mai : entraînement ACAFC





  A l'attention de tous ceux qui veulent venir s'entraîner, quelque soit le pôle d'entraînement :  pour des questions d'assurance et de responsabilités, pensez à vous acquitter de votre cotisation si ce n'est pas encore fait.

Pole Mandeure

La météo sera bonne demain donc l'entraînement aura lieu à Mandeure ce samedi 14h30.

Un conseil, prévoyez des tradis pour la fin de séance, une invasion d'objets roulants en tous genres est annoncée ... 


Ps: pour les stagiaires, la journée "test papier" aura lieu le samedi 7 juin à Gonsans (c'est confirmé). 

Pole Flagey
Pas d'entraînement ce dimanche à Flagey.
Pour appeler Pascal
Tél : 03 81 86 42 61
Port :
06 99 65 21 44


Pôle Jura
Pas d'entrainement ce samedi à Neublans
Pour appeler Jeannot.
Tél : 03 84 70 04 47
Port : 06 88 84 95 82


Pôle Rioz
Entraînement à 14h30 à Neuvelle-lés-Cromary.
Téléphonez à Alain :
Tél : 03 84 91 09 51
Port : 06 81 45 29 97

jeudi 29 mai 2014

Suisse : Berne et les cantons s'inquiètent de la santé des chamois

La population des chamois en Suisse baisse depuis une dizaine d'années, passant de plus de 97000 en 2005 à un peu moins de 92000 en 2012. 



 La population de chamois baisse en Suisse   © Image: Keystone

Le recul de la population de chamois en Suisse touche tout l'Arc alpin. Les raisons de cette baisse ne sont pas claires. Cantons et Confédération vont se réunir dans les mois à venir pour analyser la situation. «Lors d'une discussion en novembre dernier avec les cantons, nous avons constaté que les chamois ne se portent pas bien en ce moment», a indiqué Reinhard Schnidrig, chef de la section Faune sauvage et biodiversité en forêt à l'OFEV, revenant sur un article du Walliser Bote de cette semaine. 

 Il a été décidé d'organiser une journée spéciale sur cet animal emblématique des Alpes en 2014 avec les cantons concernés, soit plus de la moitié de la Suisse. 

Le chamois vit principalement dans les cantons du Valais (22'000, chiffres de 2012), des Grisons (24'000), de Berne (13'400) et du Tessin (10'500), mais on le trouve aussi en moindre quantité dans l'Arc jurassien. 

 Plusieurs facteurs 

 Les travaux en vue d'une étude seront lancés à l'issue de cette discussion générale. Il s'agira notamment de savoir quels domaines doivent être analysés. Les causes pour expliquer ce recul sont en effet multiples et diffèrent de région en région, voire se combinent entre elles, selon le responsable de l'Office fédéral de l'environnement (OFEV). 

 Les maladies ont leur part de responsabilité: plusieurs troupeaux ont été touchés par la kératoconjonctivite infectieuse ou cécité des chamois. Mais d'autres facteurs, moins évidents, peuvent être pointés du doigt. «Il faudra peut-être aussi revoir la gestion cynégétique du chamois», souligne Reinhard Schnidrig. 

 Pression de la chasse 

 La planification pour la chasse délimite des réserves franches. Or dans certaines zones, les cerfs sont devenus trop nombreux, ce qui a entraîné une concurrence avec le chamois. Les deux ongulés partagent en effet le même territoire et recherchent la même nourriture. La situation devient particulièrement critique en hiver pour ces bêtes. 

 La chasse joue également un rôle: pour limiter les dommages causés par le gibier au rajeunissement des forêts, des autorisations de tirs ont été étendues ces dernières années, ce qui a sans doute conduit à une forte pression de la chasse, poursuit le responsable haut-valaisan. La région de Conches paie peut-être aujourd'hui le prix d'une chasse plus intense. 

 Pour David Clavadetscher, directeur de ChasseSuisse, le rythme de reproduction du chamois, est aussi certainement en cause. Une femelle ne met bas qu'une fois âgée de 3-4 ans et n'a qu'un petit par année. En outre, la mortalité chez les jeunes peut s'élever jusqu'à 50% en hiver. Ces éléments expliquent la lenteur du renouvellement de l'espèce. 

 Loups affranchis 

 Car pour les chasseurs, le recul s'est aussi fait sentir en l'espace de 13 ans: alors que près de 17'000 chamois étaient tirés en 1999, ils n'étaient plus de 13'250 en 2012. Selon le directeur de ChasseSuisse, les grands prédateurs tels le loup et le lynx augmentent eux aussi la pression sur le chamois en renforçant petit à petit leur présence sur le territoire. 

 Sur ce point Reinhard Schnidrig nuance: ce sont surtout les cantons du Jura et des Alpes nord-ouest qui se plaignent du lynx. Or ces cantons n'ont pas une population de chamois qui suffise à expliquer le déclin à l'échelle de la Suisse. Quant au loup, il peut être mis hors de cause pour le moment. 

 Dans le massif de Calanda, aux Grisons, la meute de dix loups n'a jusqu'à maintenant pas eu d'effets sur la population de cerfs, une de ses proies de prédilection. En revanche, les services de chasse ont retrouvé beaucoup moins de carcasses d'animaux qui ont péri de mort naturelle. Quant aux Valais, les trois ou quatre loups qui y évoluent ne peuvent pas avoir un grand impact. 

 L'OFEV n'a pas encore décidé à qui serait confiée l'étude.

Source : (ats/Newsnet) 24heures.ch

mercredi 28 mai 2014

Exposition « Sacré Cerf » du 1er mai au 30 juin 2014 à Goumois



  
L’A.C.C.A. (Association Communale de Chasse Agréée) de GOUMOIS présente du 1er mai au 30 juin 2014, tous les week-ends et jours fériés de 14H30 à 18H, une exposition dénommée « Sacré Cerf », réalisé par les Fédérations Départementales de la chasse du Doubs et du Jura, en collaboration avec les cantons suisses du Jura et Neuchâtel. 

Cette initiative, soutenue par Interreg et les collectivités territoriales de part et d’autre de la frontière, vise à mieux faire connaître un animal familier de nos forêts et cependant si mal connu du grand public ! 

Petits et grands pourront aller à la rencontre du cerf en découvrant une exposition à la fois pédagogique et ludique, agrémentée des œuvres du peintre naturaliste Philippe MARLE. 

Renseignements : 
Fédération Départementale des Chasseurs du Doubs : 03 81 61 23 87 
Bernadette TAILLARD : 06 81 13 20 34

Pourchassé par la police, le chevreuil se réfugie chez les gendarmes!

Un chevreuil qui errait dans les rues de Toulouse a été pris en chasse par les policiers et s'est réfugié chez les gendarmes dans une caserne où il a fini par être capturé. 

Les policiers ont été alertés vers 4H30 ce jeudi de la présence sur la voie publique de l'animal qui divaguait dans une rue de l'est de Toulouse. 

A leur vue, le chevreuil a pris la fuite, aussitôt poursuivi par les véhicules de police tous gyrophares dehors parce qu'il fallait éviter un accident. L'animal s'est retrouvé dans une caserne de gendarmerie proche. 

 C'est là que les équipages de la Brigade anticriminalité (BAC) ont réussi à le coincer dans un couloir à l'aide de deux barrières. Une fois capturé, l'animal a été pris en charge par un vétérinaire et les services compétents. 
La caserne Courrège héberge 360 gendarmes et leurs familles ainsi que l'état-major de la Région de gendarmerie de Midi-Pyrénées.

 Source : Charentelibre.fr

mardi 27 mai 2014

Championnat de France du Cheval de Chasse à Fontainebleau les 31 mai et 1er juin 2014

FETE DE LA CHASSE A FONTAINEBLEAU NATURE ET VENERIE EN FÊTE RECOIT :

LE CHAMPIONNAT DE FRANCE DU CHEVAL DE CHASSE 
AU GRAND PARQUET 
LES 31 MAI ET 1 JUIN 

Samedi de 10h à 21h30 et dimanche de 10h à 18h : des animations en continu sur tous les terrains du Grand Parquet .Concours de chiens d’ordre, Griffon Nivernais, Jagd Russel, Berger australien, présen­tation de 50 équipages avec leur meute, cross par équipage, concours de trompes, pré­sentation d’amazones, baptême poneys, fauconnerie, archerie... .Spectacle semi-nocturne et possibilité de dîner sur place le samedi 
Dimanche à 10h30 : messe de Saint-Hubert au son des trompes suivie d’une bénédic­tion des chiens.

 

dimanche 25 mai 2014

Vidéo Rag (chasse du ragondin à l'arc) par l'ADCA44



 © Photo : Jean Badet

Petite compilation des dernières sorties de chasse à l'arc au ragondin avec l'ADCA 44 pour la saison 2013-2014...

 Le montage de ce film, avec un petit clin d'œil à l'émission culte de notre jeunesse, se veut convivial afin de retranscrire l'ambiance de cette chasse d'amis : Beaucoup d'observations d'oiseaux divers et variés, de ragondins, des prélèvements (pour la régulation des ragondins très/trop nombreux) et de bonnes journées bien sportives qui font travailler les cuisses en gambadant dans la boue... 

Pour les non initiés, sachez que les ragondins se reproduisent très rapidement. Tant et si bien que leurs prédateurs naturels (oiseaux de proie, renards, sangliers, etc...) n'arrivent plus à en limiter les effectifs. 
Le ragondin, originaire d'Amérique du Sud, a été introduit au 19è siècle pour l'exploitation de sa fourrure et il empiète sur l'espace naturel d'autres espèces originellement présentes en France (campagnol amphibie, castor d'Europe, etc.). 

 Les chasseurs et piégeurs tentent donc d'en contenir les populations afin d'éviter : 
1.) Les dégâts des ragondins sur les nichées d'oiseaux 
2.) L'affaissement des rives et des chemins (dû aux nombreuses galeries creusées par les rongeurs). 
3.) La propagation de certaines maladies (notamment la leptospirose). 

Bon visionnage à tous !! RB

Joyeux anniversaire Romain

JOYEUX ANNIVERSAIRE !!!



vendredi 23 mai 2014

Tir à l'arc depuis le salon ... Oups !!!

Tir à travers une baie vitrée avec un arc à poulies 55 livres
 

Samedi 24 mai : Entraînement ACAFC




  
A l'attention de tous ceux qui veulent venir s'entraîner, quelque soit le pôle d'entraînement :  pour des questions d'assurance et de responsabilités, pensez à vous acquitter de votre cotisation si ce n'est pas encore fait.

Pole Mandeure

La météo sera bonne demain donc l'entraînement aura lieu à Mandeure ce samedi 14h30.

Pour les stagiaires : petit challenge ... et programme "fil rouge" habituel (TALC etc ....).
Avez vous un sujet que vous voudriez voir traiter ou "retraiter" ?

Ps: pour les stagiaires, la journée "test papier" aura lieu le samedi 7 juin à Gonsans (sous confirmation). La date n'a pas été simple à définir.

Pole Flagey
Entraînement ce dimanche à 9h30 à Flagey.
Pour appeler Pascal
Tél : 03 81 86 42 61
Port :
06 99 65 21 44


Pôle Jura
Pas d'entrainement ce samedi à Neublans
Pour appeler Jeannot.
Tél : 03 84 70 04 47
Port : 06 88 84 95 82


Pôle Rioz
Pas d'entraînement à Rioz.
Téléphone Alain :
Tél : 03 84 91 09 51
Port : 06 81 45 29 97

Nouvelle fédération de chasse à l'arc en Belgique



Luc Krols, notre sympathique Belge membre ACAFC  est heureux de nous informer de la création de la toute nouvelle Fédération Belge de Chasse à l'arc (Belgian Bowhunting Federation: BBF).


C'est la réunification des 2 associations que sont le Flemish Bowhunting Association (FBA) et l'équipe Wallonne (Fédération Wallonne des Chasseurs à l'Arc:FWCA) qui a permis la création de cette fédération dont le but est de renforcer et d'unir les efforts pour faire avancer la chasse à l'arc en Belgique.

Luc a accepté le rôle de président du BBF et espère mener à bien la difficile procédure qui légalisera la chasse à l'arc en Belgique.

Dans un courrier, il remercie tous les membres ACAFC qui ont permis de lui faire découvrir et progresser dans la chasse à l'arc et ainsi participer indirectement à l'action menée en Belgique.  

Il a créé un site Internet pour le BBF (http://www.belgianbowhunting.be/), sur lequel se trouve une page permettant de collecter des signatures de sympathisants pour la légalisation de la chasse à l'arc en Belgique. 

Cette liste de personne sera incluse dans le dossier qui sera préparé pour le gouvernement.

Je vous encourage d'y participer en cliquant sur le lien ci-dessous.

jeudi 22 mai 2014

Un vaste réseau de braconnage de chamois démantelé dans les Alpes du sud

Neuf personnes ont été interpellées dans les Alpes-de-Haute-Provence et dans les Hautes-Alpes, après dix mois d'enquête. Ces personnes sont soupçonnées d'avoir organisé un vaste trafic de braconnage, principalement de chamois, dont le préjudice est estimé à 60 000 euros.

Beaucoup de chamois ont été braconnés dans les Alpes du sud. © Maxpp/Alejandro Moreno de Carlos
© Maxpp/Alejandro Moreno de Carlos Beaucoup de chamois ont été braconnés dans les Alpes du sud.

Après 10 mois d'enquête judiciaire, un important réseau de braconnage a été démantelé dans les Hautes-Alpes et les Alpes de Haute-Provence. Au moins neuf personnes âgées entre 19 et 38 ans ont déjà été interpellées à Sisteron, La Javie, Forcalquier et dans la Vallée de l'Ubaye Alpes-de-Haute-Provence mais aussi sur le secteur d'Embrun (Hautes-Alpes) dans le cadre de plusieurs trafics de viande sauvage présumés.

150 animaux, essentiellement des chamois

Selon l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS), le préjudice de ce trafic démantelé et calculé sur les trois dernières années est estimé à 60.000 euros. Au moins 150 animaux, essentiellement des chamois, ont été abattus illégalement. Au total, dix sociétés de chasse ont déposé plainte pour "chasse en période prohibée et non réglementée".

Deux chasseurs déjà condamnés

Selon la gendarmerie, sept personnes mises en cause seront prochainement jugées devant le tribunal correctionnel de Digne-les-Bains. Deux chasseurs âgés de 25 et 26 ans ont déjà été condamnés à 2 mois de prison avec sursis et 1.500 euros de dommages et intérêts pour les sociétés de chasse. Lors des investigations et des opérations de surveillance menées conjointement depuis juillet 2013 par la gendarmerie et l'ONCFS, une trentaine d'armes, équipées de silencieux et lunettes de visée, ont été saisies ainsi qu'une trentaine de "trophées", têtes et cornes d'animaux sauvages.

Une salle d'abattage

" - A Embrun, les gendarmes ont par exemple découvert chez deux chasseurs un registre démontrant l'étendue du trafic", indique le Major Michel Igoa, commandant en second de la compagnie de Barcelonnette (Alpes-de-Haute-Provence).
" - Lors des perquisitions menées dans les vallées de l'Ubaye et de la Blanche, nous avons pu constater que les chasseurs n'ont pas hésité à transformer une pièce d'habitation en salle d'abattage"
poursuit le major Higoa, expliquant "que ces braconniers avaient un réel sentiment d'impunité" avant d'ajouter "les sociétés de chasse et les chasseurs honnêtes sont pour leur part conscients de l'importance des dégâts sur le gibier occasionné par ces actes de braconnage". "Ce qui est significatif dans cette affaire, c'est le nombre d'animaux tués et le nombre de personnes poursuivies en justice. Les investigations ont été menées en parfaite synergie avec l'ONCFS, chacun apportant ses compétences techniques et juridiques", a souligné le colonel Christophe Brochier, commandant le groupement de gendarmerie des Alpes-de-Haute-Provence. 

mercredi 21 mai 2014

Un chamois capturé en plein centre-ville de Dijon

 
 © Photo archives : Jean Badet

La capture est plus courante que ce que l’on pourrait croire. Jeudi, en début d’après-midi, un chamois a été attrapé dans Dijon. Que l’on s’adresse à l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) ou au lieutenant de louveterie Michel Flé, le discours est le même : « Capturer des chamois en pleine ville, à Dijon, c’est quelque chose qui arrive de temps en temps. » 

 Celui capturé ce jeudi n’en reste pas moins le premier de l’année 2014. « Il m’a taquiné depuis le matin », explique Michel Flé. « J’ai fini par l’avoir, avec l’aide d’habitants de Dijon, à 14 heures, rue Chevreul, derrière la piscine. C’était un mâle de deux à trois ans. Un beau trophée, vraiment. » 

Un trophée qu’il a endormi à l’aide d’un fusil à seringue hypodermique. « L’animal est en parfaite santé, il n’y a pas eu d’accident. C’est un beau résultat », se réjouit encore celui qui a en charge la capture d’animaux sauvages dans l’agglomération dijonnaise. Capturé vers 14 heures, l’animal a été pris en charge par l’ONCFS est emmené dans un habitat plus propice à sa survie. « Je lui ai donné à boire pendant le trajet. Quand on l’a relâché, il s’est tourné deux ou trois fois vers nous comme pour nous dire au revoir », se souvient, presque ému, Michel Flé. 

Source : bienpublic.com 

mardi 20 mai 2014

Fête de la nature à Saône le samedi 24 mai

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Vue aérienne du Marais de Saône
(Cliché Michel Cottet, 29 avril 2008 http://baladesnaturalistes.hautetfort.com/)


Samuel, membre ACAFC organise avec son ACCA une manifestation sur le thème de la nature qui compose le magnifique territoire de la commune de Saône.

Des cartes des sentiers forestiers et une exposition de photos seront proposés.

Une initiation au tir à l'arc pour petits et grands sera mise en place.

Cette manifestation à lieu le samedi 24 mai de 14h00 à 1700 au chalet de l'ACCA de Saône (la route est fléchée à partir de du carrefour de la route d'Ornans à la sortie du village).

L'entrée est gratuite, venez nombreux !!! 


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Le Marais de Saône (Source : FDC25)

Laissé à l'abandon depuis une cinquantaine d'années, le marais de Saône sort de l'ombre. Dans les années 90, les chasseurs de Saône, conscients que le marais se ferme progressivement, souhaitent apporter leur concours dans sa sauvegarde et sa réhabilitation au bénéfice de la faune et de la flore sauvage.

Le Marais de Saône se situe en limite occidentale des premiers plateaux calcaires du Doubs, à environ 10 Km au sud-est de Besançon.

Il présente une topographie quasiment plane oscillant entre 390 et 380 m d'altitude avec un point bas, le Creux sous roche situé à 367 mètres.

Pâturage extensif sur le marais de Saône

Par ailleurs, les eaux transitant à travers le marais contribuent à l’alimentation de la source d’Arcier. Cette dernière représente un enjeu capital dans la ressource en eau de Besançon puisqu'elle alimente 45%de la population de la ville (soit quelques 55 000 habitants).


Doté d’une mosaïque diversifiée de milieux humides, le marais de Saône héberge encore une faune et une flore spécifiques de très grand intérêt.

Ce marais a toutefois subi un nombre important d’atteintes (drainage, enrésinement, abandon, urbanisation, pollutions diverses, etc.) qui altèrent de façon prononcée ses fonctionnalités de zone humide. La prise de conscience progressive de l’obligation de préserver cette zone a conduit en septembre 2000 à la création du Syndicat mixte du marais de Saône.

C'est dans ce contexte que l'ACCA de Saône, subventionnée par la Fédération des Chasseurs du Doubs va acheter deux parcelles à l'abandon. Sept hectares de résineux y sont coupés et la parcelle retrouve sa vocation première de prairie humide. Elle borde ainsi trois étangs de faible profondeur creusés en 2004. Six chevaux de race Konig-Polski, financés par les chasseurs, y sont installés afin d' entretenir le site via un pâturage extensif. 

Depuis, des visites guidées sont organisées afin de valoriser l'enjeu de protection des zones humides et d'illustrer la contribution des chasseurs à la préservation du marais.

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Le Journal du marais de Saône - N° 20 (source : http://www.shnd.fr/)

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Sentiers de découverte du marais
  • Conférence sur les champignons du marais de Saône
  • Appel à projets « Continuités écologiques »
  • Bilan de pâturage 2012
  • Suivis scientifiques « marais »
  • Le point animations
  • Pages spéciales - Randonnée pédagogique dans le marais ! Des équipements pour faciliter l’accès au site...et un livret de découverte à venir
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Ne pas oublier les bottes

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Tout le Journal du marais n°20

lundi 19 mai 2014

L’État veut chasser des huttiers de chez eux

L’État se dit propriétaire de parcelles privées en baie de Somme. Selon lui, elles seraient sur le domaine public maritime. 
 
Miles Wambaugh dénonce "une atteinte au droit de propriété, qui fait partie des droits de l’Homme"

 Une vingtaine de propriétaires de mollières de Lanchères, Pendé, Saint-Valery-sur-Somme, c’est-à-dire des parcelles de la baie de Somme baignées par la mer pendant les grandes marées, ont appris en 2011 qu’ils n’étaient pas vraiment chez eux.
Dans un courrier daté du 7 juin 2011, Paul Girard, directeur départemental des territoires et de la mer (DDTM), leur annonce qu’à la suite d’«  un constat de la limite atteinte par la mer lors de la marée d’équinoxe  » du 21 mars 2011, les terrains appartiennent au domaine public maritime. Donc à l’État, et ceci malgré leurs titres de propriété et le fait qu’ils ont toujours payé les taxes foncières.
De ce fait, Paul Girard demande aux propriétaires concernés de solliciter, avant le 30 juin suivant, une autorisation d’occupation temporaire du domaine public maritime pour qu’ils puissent continuer d’y exercer «  légalement  » leur activité. En fait, la chasse, puisque ces parcelles comportent des huttes. Le directeur départemental des territoires et de la mer somme les personnes concernées d’adhérer à l’association de chasse de la baie de Somme, bénéficiaire du bail de chasse sur le domaine public maritime.
En bref, les propriétaires ne le sont plus, et n’ont plus le droit de chasser sur « leurs » mollières sans être adhérents à l’association. «  C’est une atteinte au droit de propriété, qui fait partie des droits de l’Homme  », dénonce Miles Wambaugh, président du collectif des propriétaires de mollières de la baie de Somme sud, «  créé à cause de cette affaire. Par le bouche-à-oreille, on a appris rapidement qu’on avait tous reçu le même courrier. D’ailleurs, curieusement, seuls les propriétaires dont la parcelle dispose d’une hutte de chasse l’ont reçu  ».

Révolution française
et édit de Moulins

Miles Wambaugh demande alors une entrevue avec le sous-préfet d’Abbeville de l’époque, Philippe Dieudonné. Il lui indique que tous les propriétaires concernés disposent d’actes notariés prouvant leur bonne foi. L’affaire s’engage plutôt mal : pour qu’un terrain soit considéré comme faisant partie du domaine public maritime, il suffit qu’il soit baigné par la mer lors des grandes marées. Dans un courrier du 8 juillet 2011, le sous-préfet consent néanmoins à suspendre la procédure, et invite chaque propriétaire à fournir les titres de propriété «  avec recherche d’antériorité de propriété la plus complète possible  ». En effet, il existe deux exceptions aux principes d’imprescriptibilité et d’inaliénation du domaine public maritime : « (…) seuls les droits et concessions accordés avant l’Édit de Moulins de 1566 et les ventes légalement consommées de biens nationaux (NDLR, les biens saisis aux aristocrates et au clergé pendant la Révolution française) donnent un droit de propriété sur le domaine public maritime  », écrit le sous-préfet.
Le 12 septembre 2011, le collectif remet à la sous-préfecture d’Abbeville les premières pièces, «  titres de propriété, extraits de cadastre, feuilles d’imposition de la taxe foncière  », détaille Miles Wambaugh. La sous-préfecture envoie le tout au ministère de l’Écologie. Le 17 juillet 2012, le sous-préfet d’Abbeville réclame des preuves supplémentaires.
Miles Wambaugh et ses amis ne se démontent pas. «  On a réuni tous nos titres de propriété  », raconte-t-il. «  Nous sommes allés aux Archives départementales pour retrouver les documents antérieurs. Grâce au personnel des Archives, on s’est rendu compte que tous les terrains situés entre la pointe du Hourdel et Saint-Valery ont été vendus le 28 vendémiaire an IV, soit le 20 octobre 1795, par l’État, à des bourgeois d’Abbeville. Ils appartenaient auparavant au comte d’Artois, comte de Ponthieu, frère de Louis XVI, futur Charles X  ».
Première victoire, donc, pour le collectif, qui correspond à l’une des deux exceptions citées par le sous-préfet. Ce n’est pas tout. «  On est remonté à des concessions accordées à des laboureurs avant 1520, donc avant l’édit de Moulins  », ajoute Miles Wambaugh. La deuxième exception est respectée.

Successions
et ventes en suspens

Toutes ces archives sont transmises le 9 octobre 2012 au sous-préfet d’Abbeville. Ensuite, il a fallu attendre plus d’un an pour que l’État réagisse, par un courrier daté du 20 novembre 2013, signé Jean-Claude Geney, successeur de Philippe Dieudonné. Entre-temps, une expertise juridique des documents a été faite, et le représentant de l’État convoque le collectif à une réunion le 21 novembre 2013. Laquelle est reportée, la veille du rendez-vous, «  suite à un empêchement  » du sous-préfet.
Depuis, presque trois ans après le premier courrier de la DDTM, Miles Wambaugh et les autres propriétaires attendent toujours. Contactée par le Courrier picard, la sous-préfecture d‘Abbeville se refuse à commenter le dossier, en raison «  de la campagne officielle des élections européennes  ». La réunion n’a pas été annulée, elle devrait se tenir après le scrutin, assure-t-on. «  Des successions sont bloquées par des notaires  », affirme le président du collectif, «  car ces derniers attendent la suite des événements. C’est problématique pour les héritiers, car les défunts possédaient bien des titres de propriété  ». Des ventes sont également suspendues. À l’office notarial Butel-Sigwald de Saint-Valery-sur-Somme, aucun notaire n’a voulu répondre à nos questions sur le cadre juridique général de ces blocages.
«  C‘est pire qu’une expropriation  », résume Miles Wambaugh. «  L’État veut nous mettre dehors de chez nous, sans aucune indemnisation, alors qu’il a acheté des mollières similaires sur la commune de Boismont  ».
Le président du collectif, fort des preuves historiques dénichées, garde néanmoins confiance.


DENIS DESBLEDS pour Courrier picard

dimanche 18 mai 2014

Savoie: Un loup abattu sur la commune de Saint-André


Ce jeudi 15 mai 2014 peu après minuit, un loup mâle adulte a été abattu sur la commune de Saint-André (Savoie) par un lieutenant de louveterie.

© crédit photo par Henri Bellinaso

Saint-André (une commune du Parc national de la Vanoise) est situé dans la vallée de la Maurienne, à 4 km de Modane. Le loup a été prélevé dans le cadre d’un « tir de défense » qui fait suite à un arrêté préfectoral autorisant un éleveur à y avoir recours en vue de la protection de son troupeau contre la prédation.

Conformément à cet arrêté, un lieutenant de louveterie effectuait pour la troisième fois une surveillance près du troupeau regroupé dans un parc de nuit situé à proximité immédiate d’habitations, au lieu dit « Les Champs ». L'éleveur venait de subir une attaque sur son troupeau la nuit précédente. Le lieutenant de louveterie désigné comme tireur sur l’arrêté a observé une première fois et furtivement l’animal le mercredi 14 mai au soir vers 21 heures. Avec la personne l’accompagnant pour éclairer à l’aide d’un phare portatif. Il observe à nouveau le loup vers 22 heures 30 sans pouvoir réussir à tirer. A minuit vingt, alors qu’ils attendent dans un véhicule stationné en bordure du parc, le loup se montre pour la troisième fois. Le tir rapide touche l’animal au thorax. Le loup s’écroule sur place.

L’Office National de la Chasse et de la Faune sauvage a été avisé du tir et un agent à rejoint le lieutenant de louveterie sur les lieux. Il a constaté la présence du cadavre du loup à l’intérieur du parc de nuit électrifié où sont regroupés des moutons.

Le loup a été tiré à une distance d’environ 30 à 35 mètres. Il s’agit d’un loup mâle adulte présentant un impact de projectile ayant traversé le thorax. Les traces de sang relevées confirment que l’animal a bien été abattu sur place. Le registre, tenu à jour a été contrôlé par l’agent. Le cadavre a été pris en charge par l’agent de l'ONCFS pour être déposé au Laboratoire départemental d’analyses vétérinaires de la Savoie.

D’après les éléments recueillis sur place, cet animal aurait été observé à de très nombreuses reprises sur cette commune depuis le mois de janvier. 

Source : Baudouin de Menten pour la Buvette des Alpages 

samedi 17 mai 2014

Vol d’aigle autour de l’Aiguille du Midi en caméra embarquée



Vous vous souvenez du film extraordinaire pris depuis un aigle avec une caméra embarquée et que nous vous avions montré l’année dernière ? Cette vidéo a été la vidéo avec un animal la plus vue sur Youtube en 2013. Elle a même été nommée parmi les 12 meilleures vidéos sur Youtube pour 2013 par Channel 4 (Grande-Bretagne).

L’aigle est de retour avec des images encore plus étonnantes. La même équipe a enregistré une nouvelle vidéo où vous verrez le même vol d’aigle autour de l’Aiguille du Midi (Massif du Mont Blanc). Il s’agit d’une première mondiale ! Vous allez savoir ce que c'est que de voler comme un aigle et voir les Alpes comme vous ne les avez jamais vues.


vendredi 16 mai 2014

132 vaches abattues dans deux élevages du Doubs à la suite d'un cas de tuberculose

Pour éviter tout risque de propagation de cette maladie contagieuse, les vaches des deux élevages de Chenecey et Flagey, fréquentés par des vaches atteintes de tuberculose, ont du être abattues début mai. Il y a très peu de risques de transmission à l'homme. 




Les bovins malades ont vécu à Chenecey et à Flagey. C'est donc les bovins de ces deux élevages qui ont du être abattus par précaution. Les carcasses de viandes ont été inspectées dans les abattoirs et le lait a été pasteurisé et commercialisé en dehors de la filière des AOP comté morbier.Les éleveurs vont également toucher une indemnisation de l'Etat, le temps de leur permettre de renouveler leur troupeau. La tuberculose est une maladie rare sur des élevages bovins en France, mais pas exceptionnelle. Le dernier cas similaire de tuberculose animale dans la région remonte à 3 ans. C'était aussi dans un autre élevage du Doubs, selon les services vétérinaires du département. 


Avec Jean-Pierre Jacquemin, Président du groupement sanitaire du Doubs 
et Cédric Chapuis, Directeur du groupement sanitaire du Doubs

Source: france3.fr

 

Samedi 17 mai : entraînement ACAFC



  
A l'attention de tous ceux qui veulent venir s'entraîner, quelque soit le pôle d'entraînement :  pour des questions d'assurance et de responsabilités, pensez à vous acquitter de votre cotisation si ce n'est pas encore fait.

Pole Mandeure

Personne n'est disponible pour organiser et gérer l'entraînement donc pas d'entraînement à Mandeure ce samedi.
Pole Flagey
Pas d'entraînement ce dimanche à Flagey.
Pour appeler Pascal.
Tél : 03 81 86 42 61
Port :
06 99 65 21 44


Pôle Jura
Samedi entrainement, avec au programme recherche au sang. 
La météo sera propice , il y a des conducteurs de chiens de sang pour réaliser ce cours, nous allons tracer une piste le matin, pour la démonstration l’après midi.
Puis une petite séance de tir pour terminer la journée. 

RDV pour 14h à Neublans comme d’habitude.
Appelez Jeannot.
Tél : 03 84 70 04 47
Port : 06 88 84 95 82


Pôle Rioz
Pas d'entraînement à Rioz.
Téléphone Alain :
Tél : 03 84 91 09 51
Port : 06 81 45 29 97

mercredi 14 mai 2014

Le ras-le-bol des agriculteurs face aux rodéos sauvages à moto

© vidéo amateur Un agriculteur du Bassin Minier a filmé les rodéos qui ravagent ses champs.

Jacques Fouquenelle cultive ses terres à Vermelles dans le Bassin Minier. Il fait partie de ces agriculteurs excédés par les rodéos sauvages à moto qui endommagent régulièrement ses cultures depuis le début de l'année. Des équipées sauvages et vrombissantes devenues hebdomadaires. 

 " On ne respecte pas notre métier, fulmine l'agriculteur. Eux, ils s'amusent. Ils jouent avec nous et avec la police. Ils jouent à cache-cache avec des motos sans plaque. Ils ont peu de chance au final de se faire prendre." Jacques Fouquenelle a placé une caméra dans le grenier de la ferme. 

Ses images sont édifiantes, comme le montre notre reportage. 

Voir la vidéo 

Vermelles : face à face dangereux entre motos... par lavoixdunord

Le moto-cross sauvage, nouveau sport régional

Loïc Beunaiche & Jean-Pascal Crinon L'agriculteur de Vermelles a décidé de porter plainte. Il n'est pas le seul à pâtir de ces pratiques inciviques. Les mêmes histoires de champs labourés par les rodéos sauvages se retrouvent à Auchy-les-Mines, à Carvin, ou dans d'autres villages du Bassin Minier, du Douaisis ou de la Métropole lilloise. 

Des agriculteurs désemparés témoignent dans les colonnes de la Voix du Nord. Partout les mêmes récits de culture détruites, et de désarroi face au "manque de respect" des auteurs de ces rodéos sauvages à moto ou en quad. Pourtant, avec une vingtaine de terrains dédiés au moto cross et aménagés pour cela, notre région est l'une des mieux loties de France. 

Source : France3.fr

lundi 12 mai 2014

LOT ET GARONNE : UN POMPIER CHARGÉ PAR UN CHEVREUIL

Plusieurs hématomes...
Un pompier du Lot-et-Garonne a été hospitalisé dans un état sérieux, victime notamment d'un hématome au crâne, après avoir été chargé mercredi par un chevreuil qu'il venait extraire du jardin d'un particulier. 
Le pompier professionnel de 31 ans, spécialisé dans le "fléchage" d'animaux errants avec un fusil hypodermique, avait été appelé mercredi après-midi avec des collègues, après qu'un chevreuil égaré s'était retrouvé bloqué dans le jardin d'un particulier à Marmande. 
Le pompier a bien fléché le chevreuil, mais, peut-être approchant trop tôt alors que l'animal était insuffisamment endormi, il a été violemment chargé par le cervidé paniqué. Un chevreuil adulte peut atteindre 20 à 30 kilos. 
Le pompier a subi plusieurs hématomes à l'oeil, à la mâchoire, ainsi qu'un, sévère, au crâne, qui a justifié son transfert mercredi soir de l'hôpital de Marmande au CHU de Bordeaux. Son état y était stable jeudi, mais l'hématome crânien restait sous surveillance, dans l'attente d'une éventuelle décision d'opération

Source : noschasses.fr

dimanche 11 mai 2014

Le loup pour l'homme


Yannick Léonard, agent de l'ONCFS des Hautes-Alpes, et un agent de l'ONF, pendant l'opération de hurlements provoqués au nord de Gap  © Laurent Védrine

Pour approcher le "Canis lupus italicus" protégé par la loi, Sur les Docks a « pisté » des agents de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS).

Le premier nous a conduit discrètement la nuit dans une clairière accrochée au fond d'un vallon forestier, pour tenter de communiquer avec une meute des Hautes-Alpes.
Le second nous a donné rendez-vous avec une troupe de chasseurs bénévoles sur un plateau enneigé des Alpes Maritimes, pour assister à une "battue administrative de prélèvement".

Tuer ou laisser vivre le grand prédateur, sans pour autant prendre parti : la politique paradoxale de l'Etat vis à vis du Loup raconte la gestion sensible des conflits environnementaux.

Source : Franceculture.fr

Ci-dessous un documentaire Audio très intéressant sur le loup dans les environs de Gap.


Le loup pour l'homme       53 minutes

Le loup pour l’homme


Un documentaire de Laurent Védrine et Jean-Philippe Navarre

Production : Laurent Védrine


Réalisation : Jean-Philippe Navarre